Hier soir, je parlais avec le réalisateur Juan Antonio Bayona et producteur Ghislain Barrois à une afterparty Soho House, ils m'ont demandé comment la foule Toronto Film Festival a réagi à la fin de leur histoire survie tsunami de l'impossible. Je devais être honnête: Une fois une image réelle de la famille qui ont survécu au tsunami de 2004 qui a tué 230.000 personnes a été affiché à l'écran (les parents sont joués par Ewan McGregor et Naomi Watts), puis la famille Belon réelle se leva pour embrasser Bayona , la foule se précipitait à leurs pieds pour une ovation debout si vite et il a duré si longtemps, il était difficile de dire si elles étaient d'enracinement pour le film poignant, la famille qui a survécu, ou les deux.
C'est ce qui rend si grand Toronto. Il ya tant de surprises et celui-ci m'a rappelé ce que j'ai ressenti lorsque j'ai assisté à la première 127 Hours, un film qui m'a vraiment impressionné même si je n'ai pas vraiment envie de le voir. Et puis randonneur Aron Ralston a pris la scène avec Danny Boyle et James Franco pour expliquer comment ils ont réussi. La nuit dernière, Enrique Belon m'a dit que lui, son épouse Maria et fils Lucas, Tomas et Simon réellement aimé regarder le film, bien qu'ils admettent avoir regardé il a aidé la production et un dépistage plus tôt pour se préparer à revivre un cauchemar. Et non, ils ne sont pas revivre le cauchemar en rêve chaque nuit, du moins pas plus.
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