Les films de classe sont confrontés à un problème incessant: ils doivent familiariser les observateurs avec les nouveaux univers rapidement et efficacement. Il y a souvent tellement de dialectes et d’histoires à raconter que les spécialistes doivent choisir entre des vidages de données fastidieux ou laisser leur cadre inexpliqué pour des durées plus longues, de façon à pouvoir participer à l’activité. Lorsque le décor de film de science-fiction ou de rêve d'un film commence à être reconnaissable, le moment est venu pour le générique de rouler. C’est l’une des nombreuses raisons pour lesquelles les studios s’aperçoivent qu’il est si accablant de transformer ces titres en établissements. En continu d’excursion, la base vient d’être posée, et les essayistes peuvent se mettre au travail. Le test crée un premier film qui mérite d'être poursuivi.
Alita: Battle Angel, vu l’arrangement de manga de Yukito Kishiro datant des années 1990, Battle Angel Alita, est un triomphe de la construction du monde et une déception de la narration. Le film se déroule dans un futur lointain après une guerre écrasante qui a tout nivelé sauf une des communautés urbaines extraordinairement planétaires de la Terre. Ce dernier survivant, Zalem, est occupé par les installations industrielles d'Iron City. Les personnes et les cyborgs qui vivent dans l'ombre de Zalem se nourrissent réellement de ses morceaux tout en aspirant à une vie supérieure. À la recherche de pièces supplémentaires au milieu des ordures ménagères de Zalem, le Dr. Dyson Ido (Christoph Waltz), virtuose de l'intelligence artificielle bienveillante, trouve une jeune femme cyborg encore vivante qui la répare et la reçoit.
Alita (Rosa Salazar), une amnésique, passe de jour en jour de adolescente émerveillée à adolescente grincheuse, révoltée par la défense paternelle d'Ido pour investir son énergie avec son "criminel à la personnalité attachante", Hugo (Keean Johnson). Alita a une justification particulièrement valable pour poursuivre à la hâte, car une bataille contre ce qui pourrait être comparé à Jack the Ripper déclenche quelques souvenirs de son existence antérieure et la persuade qu'un affrontement de plus en plus brutal pourrait révéler davantage de données. Comme une sainte du jeu sur ordinateur, Alita avance dans le film, reconfigurant ses appareils gagnants et se souvenant de techniques de combat incroyablement mortelles qui lui permettent de faire face à des dangers de plus en plus étonnants.
Alita: Battle Angel, vu l’arrangement de manga de Yukito Kishiro datant des années 1990, Battle Angel Alita, est un triomphe de la construction du monde et une déception de la narration. Le film se déroule dans un futur lointain après une guerre écrasante qui a tout nivelé sauf une des communautés urbaines extraordinairement planétaires de la Terre. Ce dernier survivant, Zalem, est occupé par les installations industrielles d'Iron City. Les personnes et les cyborgs qui vivent dans l'ombre de Zalem se nourrissent réellement de ses morceaux tout en aspirant à une vie supérieure. À la recherche de pièces supplémentaires au milieu des ordures ménagères de Zalem, le Dr. Dyson Ido (Christoph Waltz), virtuose de l'intelligence artificielle bienveillante, trouve une jeune femme cyborg encore vivante qui la répare et la reçoit.
Alita (Rosa Salazar), une amnésique, passe de jour en jour de adolescente émerveillée à adolescente grincheuse, révoltée par la défense paternelle d'Ido pour investir son énergie avec son "criminel à la personnalité attachante", Hugo (Keean Johnson). Alita a une justification particulièrement valable pour poursuivre à la hâte, car une bataille contre ce qui pourrait être comparé à Jack the Ripper déclenche quelques souvenirs de son existence antérieure et la persuade qu'un affrontement de plus en plus brutal pourrait révéler davantage de données. Comme une sainte du jeu sur ordinateur, Alita avance dans le film, reconfigurant ses appareils gagnants et se souvenant de techniques de combat incroyablement mortelles qui lui permettent de faire face à des dangers de plus en plus étonnants.
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